senteurs de brousse






Pas d'électricité, pas l'eau courante, mais avec un peu de chance un forage pas trop loin. Sinon on boit dans le marigot. La première ville avec pharmacie et centre de santé peut être à une cinquantaine de kilomètres, reliée par des pistes en plus ou moins bon état.
Peu d'instits sont prêt à s'exiler dans ce genre de coins, même pour gagner 40 000 FCFA/mois (60 euros). Du coup il n'y a pas systématiquement d'école et pas grand monde au village n'est capable de parler et comprendre le français (seule langue "nationale" puisque les autres sont régionales).





Les gens vivent de l'agriculture (champ de manioc, ci-dessus) et de la chasse du ragondin (ci-dessous). Il vous tente celui là?



Ce qui est chouette, c'est que les petits villages égarés dans la brousse sont très acceuillants et font très bien à manger de l'igname pilé qui se prépare comme suit :





Après on est invité à manger et c'est très bon :



Des souvenirs inoubliables.






7 comments:

Unknown said...

Bravo... extra... super intéressant... bien documenté ... regard à hauteur humaine !!CONTINUE
Une fan depuis 22 ans ...

Marie et David said...

Il est trop bien ton blog Alex ! Et je ne parle même pas de la moto.

Unknown said...

oui on peut dire que ca a un peu changé pour toi depuis am gemeindepark 44
Don blog est super bonne chance pour la suite

Jojo said...

Sacré Prypry,tu m'étonneras toujours!
Je me rappelle de cetaines discussions ou tu te voyais si bien en foreur de puits en Afrique...
Je dis Bravo!

Unknown said...

Et bien et bien, ton blog est tellement bien rédigé que je n'ose pas mettre de commentaires "légers" de peur de faire tâche !
Ah quand une photo de toi en action sur ta moto chinoise rouge coiffé de ton casque avec des flammes ???

Ray-Guy said...

Eh ben, ça fleure bon l'aventure dis-moi! Pas mal le fleuve Ouimais, j'ai beaucoup aimé... c'est cool de voir qu'on fore aussi des puits d'eau.

On viendra te voir quand tu seras installé, qu'est-c que t'en penses? une remarque?
Bonnes pérégrinations

Unknown said...

Et bien les madames qui font l'igname pilé, elles sont prêtes à faire de la Caipirinha en masse !